Liber Al II 53.
N’aie crainte, ô prophète, lorsque ces paroles seront dites, tu ne le regretteras pas. Tu es absolument mon élu ; et bénis sont les yeux sur lesquels tu poseras un regard d’allégresse. Mais je te cacherai sous un masque de tristesse : ceux qui te verront craindront que tu ne sois déchu : mais je t’élève.
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Liber Al II 53