Critiques de la Kabbale

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Quelques critiques de la Kabbale par Aleister Crowley faisant suite Ă  son Dogme de la Kabbale et introduisant son Essai sur les Nombres.

À prĂ©sent, dĂ©molissons les mĂ©thodes kabbalistiques de l’exĂ©gĂšse & ensuite, si nous le pouvons, dĂ©couvrons une base vĂ©ritable sur laquelle Ă©riger le Temple de la VĂ©ritĂ©.

1. La Guématria.

Le nombre 777 offre un bon exemple des dĂ©ductions lĂ©gitimes & illĂ©gitimes qui peuvent ĂȘtre tirĂ©es. Il reprĂ©sente la phrase, ŚŚ—ŚȘ ŚšŚ•Ś— ŚŚœŚ”Ś™Ś Ś—Ś™Ś™Ś, « Un est l’esprit du Dieu Vivant », & de ŚąŚœŚŚ”Ś Ś”Ś§ŚœŚ€Ś•ŚȘ, « Le monde des Qlipoth ».

À prĂ©sent, il est faux de dire que cette idĂ©e de l’unitĂ© de l’esprit est identique avec l’idĂ©e du chaos – si ce n’est dans le niveau exaltĂ© oĂč « l’Un est le Multiple ». Mais, le compilateur du Liber 777 Ă©tait un grand kabbaliste[1] lorsqu’il intitula ainsi son livre ; car il voulait signifier « Un est l’Esprit du Dieu Vivant », c’est-Ă -dire, j’ai dans ce livre unifiĂ© tous les divers symboles du monde ; & aussi « le monde des coquilles », c’est-Ă -dire que ce livre n’est empli que de symboles morts ; ne les prenez pas Ă  tort pour une VĂ©ritĂ© vivante. En outre, il avait une raison acadĂ©mique pour ce choix du nombre 777 ; car la subdivision en chapitres du livre allait de Kether Ă  Malkhuth, la course de l’ÉpĂ©e Flamboyante ; & si cette Ă©pĂ©e devait ĂȘtre placĂ©e sur l’Arbre de Vie, le nombre de Sentiers sur lesquelles elle passe (en prenant Ś’ , 3 comme un sentier non existant allant de Binah Ă  Hessed, puisqu’il connecte le Macroprosope & le Microprosope) est de 777.

Prenons un autre exemple, ce n’est pas une simple coĂŻncidence si 463, le BĂąton de MoĂŻse, est ŚȘŚĄŚ’, les sentiers du Pilier du Milieu ; & ce n’est pas une simple coĂŻncidence si 26, Ś™Ś”Ś•Ś”, est 1+6+9+10, les Sephiroth du Pilier du Milieu. Mais, ne devons-nous pas avoir quelque nom suprĂȘme pour 489, leur somme, le Pilier du Milieu parfait ? Sur cela le Sepher Yetsirah est silencieux. (Nous ne trouvons pour 489 que ŚžŚ©ŚœŚ Ś’ŚžŚ•Śœ, le vengeur).

À nouveau, 111 est Aleph, l’UnitĂ©, mais aussi ŚŚ€Śœ, « tĂ©nĂšbres Ă©paisses », & ŚŚĄŚŸ, « Mort Soudaine ». Ceci ne peut ĂȘtre interprĂ©tĂ© que comme signifiant l’annihilation de l’individuel dans l’UnitĂ©, & la TĂ©nĂšbre qui est le Seuil de l’Unité ; en d’autres mots, on doit ĂȘtre un expert en Samadhi avant que cette simple GuĂ©matria n’ait un sens Ă©vident. Comment, dĂšs lors, peut-elle servir les recherches de l’étudiant ? Le non-initiĂ© s’attendrait Ă  obtenir la Vie & la LumiĂšre dans l’Unique ; ce n’est que par l’expĂ©rience qu’il peut savoir que pour l’homme la DivinitĂ© doit ĂȘtre exprimĂ©e par ces choses qu’il craint le plus.

À dessein, nous avons Ă©vitĂ© de nous plonger dans la stupiditĂ© de nombreuses correspondances de la GuĂ©matria, c’est-Ă -dire, l’égalitĂ© des Qlipoth d’un signe avec l’Intelligence d’une autre. De telles ratures sont plus frĂ©quentes que celles bien connues qui montrent que ŚŚ—Ś“, UnitĂ©, 13 Ă©quivaut Ă  ŚŚ”Ś‘Ś”, Amour, 13.

L’argument est un argument dans un cercle. « Seul un adepte peut comprendre la Kabbale », tout comme (dans le Bouddhisme) Sakyamuni dit, « Seul un Arahat[2] peut comprendre le Dharma ».

Sous cette lumiĂšre, en vĂ©ritĂ©, la Kabbale ne semble pas ĂȘtre plus qu’un langage commode pour l’enregistrement d’expĂ©riences.

Nous pouvons mentionner, en passant, que Frater P.[3] n’a jamais admis l’évidente « recette » qui dit : x=y+1 .’. x=y, en assumant que ce « x » devrait ajouter un Ă  soi-mĂȘme « pour l’unitĂ© inhĂ©rente ». Pourquoi « y » n’aurait-il pas aussi une quelconque unitĂ© inhĂ©rente ?

Que cette mĂ©thode ait un jour Ă©tĂ© acceptĂ©e par les Kabbalistes argue d’une banqueroute du gĂ©nie par rapport Ă  la croyance. En toute conscience, il est assez aisĂ© dĂ©jĂ  de fausser les identitĂ©s par des mĂ©thodes moins Ă©videntes !

2. Le Notariqon.

L’absurditĂ© de cette mĂ©thode nĂ©cessite peu d’indications. Le plus rustre peut avoir pitiĂ© & s’amuser du juif de Mathers, converti par les Notariqon de Bereshith. En vĂ©ritĂ©, F.I.A.T. est Flatus, Ignis, Aqua, Terra[4] ; dĂ©montrant que le CrĂ©ateur en tant que TĂ©tragrammaton est la synthĂšse des quatre Ă©lĂ©ments ; dĂ©montrant que le Fiat Éternel est puissances de la Nature en Ă©quilibre. Mais qu’est-ce qui empĂȘche Fecit, Ignavus, Animam Terrae[5], ou tout autre blasphĂšme auquel le Bouddha pourrait applaudir ?

Pourquoi ne pas prendre notre juif converti & le renvoyer dans le Ghetto avec Ben, Ruach, Ad, Sheol ! – Ś™Ś”Ś•Ś” Torah[6] ? Pourquoi ne pas prendre le sacrĂ© Î™Î§Î˜Î„ÎŁ du chrĂ©tien qui pense que cela signifie Â«â€‰Î™Î·ÏƒÎżÏ…Ïƒ ΧρÎčÏƒÏ„ÎżÏƒ Î˜Î”ÎżÏ… ΄ÎčÎżÏƒ ÎŁÎżÏ„Î·Ïâ€‰Â»[7] & en faire un paĂŻen avec « ΙσÎșÎŽÎżÏƒ ΧαρÎčσ Î˜Î·ÏƒÎ±Ï…ÏÎżÏƒ ΄ÎčÎżÎœ ÎŁÎżÏ†Îčας »[8] ?

Pourquoi ne pas soutenir que ce Christ en blasphĂ©mant le Figuier, FIG[9], dĂ©sirait attaquer les dogmes de Kant sur la VolontĂ© Libre (« Freewill »), l’ImmortalitĂ© (« Immortality »), Dieu (« God Â») ?  

3. Temourah.

Ici encore, la multiplicitĂ© des mĂ©thodes rend notre mĂ©thode trop flexible pour ĂȘtre sĂ»re. Devrions-nous soutenir que Ś‘Ś‘Śœ Ă©quivaut Ă  Ś©Ś©Śš, puisque leur valeur est de 620, par la mĂ©thode de l’Athbash & que, par consĂ©quent, Ś‘Ś‘Śœ symbolise Kether (620) ? Pourquoi, Ś‘Ś‘Śœ est la confusion, lĂ  oĂč Kether est son opposĂ©.

Pourquoi Athbash ? Pourquoi pas Abshath ? Ou Agrath ? Ou toutes autres combinaisons possibles ?

Approximativement, la seule Temourah utile est Aiq Bekar, dont nous avons parlĂ© ci-dessus. Dans cette mĂ©thode, nous trouvons un raisonnement suggestif. Par exemple, nous le dĂ©couvrons dans l’attribution de ŚŚœŚ”Ś™Ś au Pentagramme qui nous donne π. [voir « Equinox » II, page 184]. Ici, nous Ă©crivons Élohim, les divinitĂ©s crĂ©atrices, autour d’un Pentagramme & nous le lisons Ă  l’envers en commençant avec Śœ, Balance, ♎, lettre de l’équilibre, & nous obtenons une approximation de π, 3,1415, comme si par lĂ  le carrĂ© fini de la crĂ©ation Ă©tait assimilĂ© par l’infini du cercle du CrĂ©ateur.

Oui, mais pourquoi Bereshith, 2, 2, 1, 3, 1, 4 ne donnerait-il pas, disons, e[10] ? La seule rĂ©ponse est que si vous fouillez assez longtemps, peut-ĂȘtre qu’il le fera !

La Table Rationnelle du Tziruph devrait, je suis d’accord avec Frater P., ĂȘtre laissĂ©e Ă  l’Association des Rationalistes, & nous pouvons prĂ©senter la Table Irrationnelle des Permutations aux Maçons IrrĂ©guliers.

4. Aux autres mĂ©thodes moins importantes, nous pouvons appliquer la mĂȘme critique.

Nous pouvons jeter un Ɠil au Tarot Yetsiratique & aux mĂ©thodes significatives d’investigation des mots. Mais, bien que Frater P. soit un assez bon expert de ces mĂ©thodes, elles sont peu pertinentes dans la Kabbale purement numĂ©rique, &, par consĂ©quent, nous les passerons rapidement en revue. Les attributions sont donnĂ©es dans le 777. Ainsi, Ś dans le Monde Yetsiratique est l’Air, par le Tarot, « Le Fou », & par sa signification « un bƓuf ». Ainsi, nous avons le fameux I.N.R.I. = Ś™Ś ŚšŚ™ donc ♍, ♏, ☉, ♍ ; la Vierge, le Serpent MalĂ©fique, le Soleil, suggĂ©rant l’histoire de GenĂšse II & de l’Évangile. Les initiales des noms Ă©gyptiens Isis, Apophis, Osiris qui leur correspondent donnent Ă  leur tour le Nom Ineffable IAO ; ainsi, nous disons que l’Ineffable est dissimulĂ© & rĂ©vĂ©lĂ© par la Naissance, la Mort & la RĂ©surrection du Christ ; &, en outre, les Signes du Deuil de la MĂšre, du Triomphe du Destructeur & du Fils qui se lĂšve, donnent par leurs formes les lettres L.U.X, Lux, dont les lettres sont occultĂ©es & rĂ©vĂ©lĂ©es par la Croix +XX la lumiĂšre de la Croix.

D’autres exemples seront trouvĂ©s dans « Une Note sur la GenĂšse ». Un des plus cĂ©lĂšbres est le « Mene, Tekel, Upharsin Â»[11] de Daniel, le prophĂšte imaginaire qui vĂ©cut sous Balthazar[12], le roi imaginaire.

ŚžŚ Ś      Le « Pendu », la « Mort », le « Fou » = « SacrifiĂ© Ă  Mort par sa Folie »

ŚȘŚ›Śœ      L’« Univers », la « Roue de la Fortune », « Justice » = « La fortune de ton royaume est dans la Balance ».

Ś€ŚšŚ©     « Maison-Dieu », le « Soleil », le « Jugement Dernier » = « Ta gloire est ruinĂ©e & finie ».

Nous ne pouvons nous empĂȘcher de penser qu’il dut ĂȘtre trĂšs dur de comprendre cette exĂ©gĂšse.

Nous pourrions lire plus simplement :

ŚžŚ Ś      Le sacrifice de la mort est une folie.

ŚȘŚ›Śœ      Ton royaume sera fortunĂ©, car il est juste.

Ś€ŚšŚ©     La Tour de ta gloire durera jusqu’au Jugement Dernier.

Ici, cela n’a pas pris plus de deux minutes ; et Belshazzar nous aurait exaltĂ© bien plus que Daniel.

De la mĂȘme maniĂšre, AL, ŚŚœ, Dieu peut ĂȘtre interprĂ©tĂ© « Sa folie est Justice » comme il est Ă©crit « La sagesse de ce monde est folie pour Dieu ».

Ou, par le Yetsirah : « L’Air est sa Balance » comme il est Ă©crit : « Dieu fit le firmament, & partagea les eaux qui Ă©taient sous le firmament de celles qui Ă©taient au-dessus du firmament ».

Ou par la signification : « Le bƓuf & l’aiguillon », c’est-Ă -dire « Il est Ă  la fois matiĂšre & mouvement ».

Ici, nous joignons un petit morceau manuscrit de Frater P. donnant son explication par le Tarot, etc., des lettres de l’alphabet Ă©pelĂ©es entiĂšrement.

LECTURES MYSTIQUES DES LETTRES DE L’ALPHABET

(Voir les Cartes du Tarot et MĂ©diter)

ŚŚœŚŁ Le Destin de la Folie est Ruine.
Ś‘Ś™ŚȘ Celui qui jongle avec le Secret de l’Univers.
Ś’ŚžŚœ Le Saint Ange Gardien est atteint par l’Auto-Sacrifice & par l’Équilibre.
Ś“ŚœŚȘ La Porte de l’Équilibre de l’Univers.
Ś”Ś” La MĂšre est la Fille ; & la Fille est la MĂšre.
Ś•Ś• Le Fils n’est que le Fils (ces deux lettres montrent la vĂ©ritable doctrine de l’Initiation telle que donnĂ©e par le Liber 418 en opposition avec l’exotĂ©risme protestant).
Ś–Ś™ŚŸ La rĂ©ponse aux Oracles est toujours la Mort.
Ś—Ś™ŚȘ Le Chariot du Secret de l’Univers.
Ś˜Ś™ŚȘ Celle qui rĂšgne sur la Force SecrĂšte de l’Univers.
Ś™Ś•Ś“ Le Secret de la Porte de l’Initiation.
Ś›ŚŁ Dans les Tourbillons est la Guerre.
ŚœŚžŚ“ Par l’Équilibre & l’Auto-Sacrifice, la Porte !
ŚžŚ™Ś Le Secret est cachĂ© entre les Eaux qui sont au-dessus & les Eaux qui sont en dessous (symbole, l’Arche contenant le secret de la Vie au sein du DĂ©luge sous les Nuages).
Ś Ś•ŚŸ L’Initiation est gardĂ©e des deux cĂŽtĂ©s par la Mort.
ŚĄŚžŚš Self-contrĂŽle & Auto-Sacrifice gouvernent la Roue.
ŚąŚ™ŚŸ Le Secret de la GĂ©nĂ©ration est la Mort.
Ś€Ś” La Forteresse du TrĂšs Haut.
ŚŠŚ“Ś™ Dans l’Étoile est la Porte du Sanctuaire.
Ś§Ś•ŚŁ Illusion est l’Initiation du DĂ©sordre.
ŚšŚ™Ś© Dans le Soleil (Osiris) est le Secret de l’Esprit.
Ś©Ś™ŚŸ La RĂ©surrection est cachĂ©e dans la Mort.
ŚȘŚ• L’Univers est l’Hexagramme.

(D’autres significations sont adĂ©quates Ă  d’autres plans & d’autres grades)

En vĂ©ritĂ©, il n’y a pas de fin Ă  cette merveilleuse science ; & lorsque le sceptique ricane, « Avec toutes ces mĂ©thodes on devrait ĂȘtre capable de faire tout dire Ă  n’importe quoi », le Kabbaliste sourit en rĂ©pondant « Avec ces mĂ©thodes, l’Unique fait tout Ă  partir de rien ».

À cĂŽtĂ© de ces mĂ©thodes, il existe encore une mĂ©thode – une mĂ©thode de peu d’importance pour les Ă©tudiants du Siphra Dzenioutha, Ă  savoir, les analogies tirĂ©es de la forme de lettres ; celles-ci sont souvent assez intĂ©ressantes.

Ś, par exemple est un Ś• entre deux Ś™, ce qui donne 26. Ainsi, Ś™Ś”Ś•Ś” qui a pour valeur 26 Ă©quivaut Ă  Ś qui vaut 1. Par consĂ©quent, JĂ©hovah est Un. Mais il serait plus pertinent de continuer 26 = 2 x 13, & 13 = Achad = 1, & donc JĂ©hovah est Deux.

Ceci est donc une absurditĂ©. Oui, mais c’est Ă©galement un Arcane !

Combien merveilleuse est la Kabbale ! Combien grande est sa dissimulation aux profanes ; combien sont splendides ses secrets aux initiĂ©s !

En vĂ©ritĂ© & Amen ! Cependant, nous sommes dans le vieux dilemme, celui qui veut que l’on doive connaĂźtre la VĂ©ritĂ© avant de pouvoir se reposer sur la Kabbale pour dĂ©montrer la VĂ©ritĂ©.

Ainsi, ceux qui se sont commis Ă  l’étude acadĂ©mique de ses mystĂšres n’ont dĂ©couvert qu’un bĂąton sec ; ceux qui ont compris (favorisĂ©s par Dieu !) ont trouvĂ© la Verge d’Aaron bourgeonnante, le BĂąton de Vie, oui, le vĂ©nĂ©rable Lingam de Mahasiva !

On doit suivre les recherches de Frater P. dans le domaine de la Kabbale afin de dĂ©montrer comment, de ce dĂ©pĂŽt de puzzles pour enfants, de contradictions & d’incongruitĂ©s, de paradoxes & de trivialitĂ©s, il a dĂ©couvert le vĂ©ritable canon de la VĂ©ritĂ©, la clĂ© authentique du Temple, le Mot de cette puissante Combinaison qui ouvre la Chambre aux TrĂ©sors du Roi.

Pour aller plus loin :

Critiques de la Kabbale. Cet article sur la Kabbale fut publiĂ© dans Equinox I (5) comme cinquiĂšme partie du Temple du Roi Salomon. Dans Equinox I (10) on a prĂ©tendu que ce travail Ă©tait le Liber LVIII de la Classe B (puisque 58 est Ś—ŚŸ, GrĂące, un des titres de la Kabbale). L’auteur de ce passage est sans aucun doute Aleister Crowley, qui aimait tant parler de lui Ă  la troisiĂšme personne.

Traduction française par Spartakus FreeMann, nadir de Libertalia.

☉ in 19° ♎ : ☜ in 15° ♏ : Anno IVxv a.n.

Image par Okan Caliskan from Pixabay


[1] Ici Aleister Crowley, Ă  son habitude, se lance des fleurs Ă  lui-mĂȘme, car il est l’auteur du Liber 777.

[2] Dans le Bouddhisme, ce terme se rĂ©fĂšre Ă  celui qui atteint l’illumination.

[3] C’est-Ă -dire Frater Perdurabo, le nom magique utilisĂ© par Aleister Crowley au sein de l’Ordre HermĂ©tique de l’Aube DorĂ©e.

[4] Air, Feu, Eau, Terre.

[5] « Il a crĂ©Ă©, paresseux, l’ñme de la terre Â» pourrait ĂȘtre une tentative de traduction approximative.

[6] Les initiales de ces 6 mots forment le mot Bereshit.

[7] « JĂ©sus Christ, Fils de Dieu, Sauveur Â»

[8] « Les faveurs d’Isis sont le trĂ©sor des fils de la sagesse Â».

[9] Figue en anglais se rend par « fig Â» que nous conservons afin de donner un sens Ă  ce qui suit.

[10] e  est la base des « logarithmes naturels Â»; il est dĂ©fini comme la somme de O Ă  l’infini sur N factoriel; approximativement 2,718281828.

[11] La formulation complĂšte est « mene, mene, tekel, upharsin Â» (ŚžŚ Ś ŚžŚ Ś ŚȘŚ§Śœ Ś•Ś€ŚšŚĄŚ™ŚŸ). Il s’agit d’une inscription qui apparaĂźt sur un mur dans le chapitre 5 du Livre de Daniel, lors du festin de Balthazar. Cet Ă©crit d’origine surnaturelle prĂ©dit la chute de Babylone.

[12] Crowley Ă©crit Belshazzar.

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