La Purification par Jean Azarias.
Un sage me dit un jour la chose suivante : « sais-tu, les trois sciences qu’il te faut posséder pour t’élever et réaliser le plan divin ? La gnose, l’alchimie et la théurgie ». Par la gnose, l’on aborde le chemin de la connaissance UNE et indivisible, commune à chaque initiation, à chaque fragment de Divinité sur la terre. Par l’alchimie, l’on apprend le grand Arcane de la transformation des ténèbres en lumière (en soi même et hors de soi). Enfin, par la théurgie, l’on apprend à converser sur l’invisible et à appréhender dans chaque manifestation intérieure comme extérieure, les énergies divines.
Pour moi, la science la plus belle et la plus importante demeure sans doute l’alchimie. C’est peut-être pour cette raison qu’elle fut mise entre la gnose et la théurgie, car elle assure la transformation effective de la connaissance intellectuelle en nourriture lumineuse pour l’âme qui est en apprentissage sur terre. Aujourd’hui, j’aimerais partager avec vous cette pratique alchimique : la purification.
La purification est un procédé alchimique du simple fait qu’il s’agisse de passer d’un état à un autre : De la souillure à la pureté, du sommeil à l’éveil. J’ai toujours considéré le cheminement sur les pas du christ comme alchimique. Le sentier qui part de la naissance du sauveur pour trouver son achèvement matériel dans la gloire de ce rédempteur est alchimique.
Pour mieux partager ce que j’ai avec vous, il me faut situer, le cadre de mon propos. Il faut que je lui donne une circonférence appropriée. Notre thème qui est la purification doit s’appliquer à un sujet pour réussir cette expérience. Le sujet ici est le temple, mais non pas le temple de pierre. Il s’agit du temple que Jésus Christ demandait aux pharisiens de détruire pour qu’il accomplisse le miracle de le restructurer en trois jours. Vous vous rendez compte que nous parlons d’alchimie, car, il y a un passage du plomb vil à l’or pur, passage de la pureté à la sainteté et de la sainteté à la gloire.
Nous verrons plus en profondeur, le système du temple dans sa première phase. Cela nous permettra d’aborder avec plus de simplicité la purification.
1- Présentation succincte du Temple de Salomon
Le rite hébraïque selon la loi de Moïse était très scrupuleux des principes de vertus qui devaient guider les pas des hommes hors du temple et de la loi de la transformation avant la rencontre avec Dieu. Le cheminement dans le temple pouvait se concevoir en trois étapes fondamentales comme les trois jours de reconstruction du temple-corps de Jésus-Christ. Les trois grandes articulations liturgiques étaient : la pureté, la sainteté, et l’union en vue de l’élévation dans la gloire qui est le qualificatif de la lumière archétypale. Avant la venue du Christ, il était considéré comme un privilège, le fait de demeurer dans le séjour du Seigneur. Dieu ne se montrait pas (le voile du Saint des Saints). Les lévites qui avaient été mis à part par Dieu pour son bénéfice personnel y étaient autorisés une fois par an. Le plus grand d’entre eux, le Grand prêtre qui du fait de son degré de purification pouvait être considéré comme l’égal de Dieu traversait le voile et prononçait la parole profondément sacrée en un chant de douze séquences.
On purifiait avec le feu. On se purifiait de ses péchés par une offrande soumise au feu. Cette offrande était pour chaque homme la préfiguration de la mort du Christ. Chacun , devait accomplir ce rite, chacun devait à travers cette offrande, s’immoler pour s’offrir à Dieu afin que le feu de l’holocauste transforme les mauvais actes en acte cacheté du sceau de la miséricorde divine. Ensuite, l’on pouvait se sanctifier par l’eau pour pouvoir ensuite participer à la prière dans le temple. Cette purification par l’eau équivaut à la déchirure du péricarde du Christ Jésus par la lance du Centurion.
Comparons cette explication avec la fabrication d’une épée. Les métaux sont travaillés au feu pour adhérer à une forme effilée et quelque peu épaisse. Enfin, le métal est passé à l’eau pour fixer la forme.
Le premier pas dans le temple est conforme à la fabrication de l’épée. L’acte d’offrande qui est compris comme la réconciliation de Dieu avec ses enfants donne le droit à l’Être suprême de nous façonner le mieux possible pour que nos corps soient réceptifs aux énergies du Saint des Saints. En tant qu’épée, nous nous trouvons être des armes de combat dégainées de leurs étuis pour des batailles rudes dans le monde des hommes (épreuves, faiblesse de la chair…). Nous retournons lors du sabbat rencontrer le grand forgeron pour qu’il remodèle nos formes afin que nous soyons agréables à sa vue dans le Saint des Saints. Lors de l’offrande, quand la fumée s’élève vers le ciel, cela équivaut à des coups de marteau que nous recevons des puissances purificatrices de Dieu pour redresser les courbures, les torsions de ces épées que nous sommes individuellement. Par la chaleur, Dieu opère un « job » miraculeux dans chaque état de nos êtres respectifs. Puis, il nous trempe dans l’eau pour nous rendre pur, pour fixer le travail de purification, pour achever la forme, pour la figer. Nous nous retrouvons dans l’état de grâce propice pour nous adresser à lui. Ce que nous venons de présenter est riche de quelques éléments que j’aimerais relever pour nous tous.
Converser avec Dieu nécessite que nous soyons dans un état propice pour favoriser sa présence.
La purification est un processus complet qui touche tous les états de l’homme. Le petit résumé que j’ai proposé sur la liturgie hébraïque nous conduit ainsi à nous demander ce qu’est la purification quels en sont les sentiers.
2- Définition de la purification
2-1 Définition classique
La purification est l’acte par lequel, l’on rend exempte de toutes souillures ou salissures, quelque chose ou soi-même. C’est l’action de purger de matières étrangères.
2-2 Définition dynamique
La purification est un processus de bonification de l’homme et le sentier de la transformation de son corps en vue de son évolution.
En somme, cette action de rendre exempt, de restaurer l’intégrité d’un objet ou d’un sujet fait de la purification un système complet et continu. On ne se purifie pas une fois, mais autant que les contraintes de la vie spirituelle nous l’intime. De plus, il n’y a pas que la purification qui se pose comme le fondement de la vie spirituelle, j’insiste bien sur le mot spirituel, car il existe des pratiques qui ne requièrent aucune purification pour être exercé (les actes psychiques).
Maintenant, il nous faut savoir sur quoi agir pour prétendre se purifier de façon théorique, je vais énoncer les divers points clés auxquels doivent s’appliquer tous les efforts de purification et la cause commune à ces points clés.
3- Les sentiers de la purification
Il me semble avoir oublié ou plutôt mal présenté le but de la purification. Pour que nous puissions comprendre référons-nous aux éléments qui suivent :
- La prévarication de l’homme et la perte de la grâce adamique ;
- Le meurtre d’Abel ;
- La duplicité des hommes dans le respect de leur alliance avec Dieu ;
- Les sentiments inhumains et anti-humains.
Ces éléments sont les causes pour lesquelles il nous faut nous purifier. Le but est de s’unir de nouveau avec Dieu. Dieu n’accepte en son sein que ce qui possède une résonance similaire à sa nature divine. Cet état de grâce a été perdu pour l’homme et toute son existence se conçoit dans la reconquête de son bien : la réalisation de la ressemblance avec le Créateur.
Une purification réussie est une pratique qui n’exclut aucune composante du sujet de purification. Il est important que chaque aspect de la tradition humaine soit touché. L’homme est une longue succession trinitaire dont l’ordonnancement ascendant part de l’élément le plus lié à la matière à l’élément le moins lié.
PERSONNALITE / AME / ESPRIT
CELLULES VIVANTES/SYSTEME CEREBRO-SPINAL/SYSTEME GRAND SYMPATHIQUE
CORPS / CONSCIENT/ SUBCONSCIENT
CORPS / SANG / FEU INTERIEUR (Evangile de la paix de jc)
PERE MERE FILS
PERE LE VIVANT / SAINT ESPRIT/ FILS DE L’HOMME
Imaginez que vous versez de l’eau dans un filtre à 10 épaisseurs. Quelque soit la quantité d’eau mise dans la partie supérieure de l’entonnoir, la traversée des différents niveaux doit permettre le raffinement du liquide qui tombe goûte par goûte vers le bas.
La purification doit pouvoir toucher toutes les zones perceptibles et imperceptibles de l’homme. Les couches de l’entonnoir de filtration sont les différents plans en l’homme correspondant à des corps. L’avancement dans les plans qui sont au nombre de sept constitue le cheminement vers l’éveil. L’accès à un plan supérieur suppose la maîtrise du plan précédent.
- 1 Corps physique : Cheminement du corps vers l’âme Préparation, purification du corps, Maîtrise et utilisation du conscient et du subconscient, adaptation de la personnalité aux lois de l’âme.
- 2 Corps éthérique
- 3 Corps astral
- 4 Corps mental
- 5 Ame
- 6 Corps Karmique : Ouverture de la mémoire universelle et des secrets des incarnations passées.
- 7 Corps divin Résurrection dans la lumière et les vertus premières de l’homme. Union avec Dieu
Je le rappelle encore une fois ; je considère que l’acte de purification n’est pas limité, car voici une portion du nombre incalculable de pas que nous franchissons chaque fois que nous nous y soumettons. Une autre chose est aussi à relever : sa non-limitation. Cet acte fondamental n’est pas qu’une pratique exclusive du temple. Elle s’entend à la vie de tous les jours. Jésus-Christ nous parle de la réconciliation avec les hommes avant toute réconciliation avec Dieu (Mat 3 -24). Ceci me conforte dans le fait que la purification soit d’abord un art de vivre puis un rite.
La Montagne d’Éternité
Laissez-moi maintenant vous entretenir sur le mythe de la montagne de l’éternité. Cette montagne se trouvait dans un beau petit village et elle enrichissait le paysage naturel. Seulement, l’accès à cette montagne qui était jadis ouvert à tous est devenu impraticable. Ceux qui s’y sont risqués ne sont jamais revenus.
Mais Bodhisattva croyait fermement en la réalisation de l’impossible. Il avait l’impression que ce périple était un lui inscrit et constitue la raison de son existence. Il projeta de faire ce voyage. Il alla se confier à un Brahmane qui lui dit cet oracle :
Pour la réussite de ton voyage, il te faudra semer les cinq graines en toi ;
Cinq arbres doivent s’enraciner dans la terre féconde que tu es ;
Soigne ton verger avec discipline assiduité et insistance ;
Appelle-le Esprit de lumière et de vie dans ton verger et transmets-le à tous et à toutes sans arrières pensées.
Alors, tu pourras prendre le chemin vers la montagne d’éternité, car, tu auras maîtrisé ton Être et ses cinq yeux.
Ton voyage demande lors de ton cheminement toute ton attention, car, il n’y a qu’une seule route.
Tu verras le pont qui conduit à la montagne de l’Éternité.
Tu seras avec l’Éternité.
C’était le chemin qu’il lui fallait parcourir pour vivre uni à l’éternité. Le sage Brahmane termina en lui disant : « Si tu fais bien ce que je t’ai prescrit, tu n’auras pas besoin de tes jambes pour ce périple. La montagne de l’éternité est plus proche que tu ne le crois ».
Bodhisattva s’en alla après les paroles du sage en le remerciant. Il n’avait pas cerné entièrement le propos du brahmane. Il se dit tout de même qu’il s’agissait d’une bénédiction pour son entreprise. Il savait qu’il fallait chercher un pont. Il décida de quitter le village pour sa quête dans trois jours. Il ne l’avait dit qu’à Maya, la plus belle fille du village dont il était amoureux et de qui il n’espérait rien.
La veille du troisième jour, Maya vint le voir pour lui faire ses adieux. Elle savait qu’il ne reviendrait peut-être pas. Elle décida de s’offrir tout entière à lui. Bodhisattva fut troublé, mais il se dit qu’il devait rester chaste pour le succès de son projet. Tous deux demeuraient ensemble jusqu’au lever du jour. Maya lui demanda s’il l’aimait et si pour elle, il comptait revenir. IL voulut lui faire plaisir en mentant. Finalement, il lui fit savoir qu’il tenait beaucoup à elle, mais que sa quête était toute sa vie. Il s’en alla. Durant le deuxième jour de marche, il entendit comme un appel au secours. C’était un charognard qui voulait s’emparer d’un enfant de cinq ans perdu dans la brousse. Il aida le petit et en fit son compagnon de route. Il se proposait de le ramener à sa famille. Ils gagnèrent tous deux le village de l’enfant après quelque temps. Bodhisattva n’avait pas mangé depuis cinq jours, car il offrit sa ration à l’enfant. IL avait très faim quand ils atteignirent le village. Bodhisattva regarda de loin l’enfant aller vers le village qui disparut dès que l’enfant franchit l’entrée.
Fatigué et n’ayant rien à manger, le découragement le gagnait peu à peu. Il n’avait rien d’autre que sa quête. Pour la réaliser, il lui fallait retrouver le pont mystérieux qui unit la grande falaise et la montagne d’éternité. Il chercha des jours durant sans rien trouver. La boue était épaisse et empêchait sa progression.
Après six jours de recherches et tout a fait par hasard, Bodhisattva trébucha sur quelque chose, s’était un trésor. Mille et une idées lui vinrent en tête, celle de retourner au village pour devenir notable ou souverain. Il se disait qu’avec tout ceci, il pourrait posséder toutes les choses du monde. Il pouvait même renoncer à sa quête ou la différer. Mais finalement, il décida de laisser les biens à leur place pour que leur propriétaire les retrouve.
Chemin faisant, il vit une marre d’eau pure et voulut s’en abreuver abusivement pour compasser la faim. La tentation était forte, mais il n’en prit qu’une gorgée et s’humecta légèrement le visage. Pour continuer son chemin. Sans s’en rendre compte, il avait planté de par la rigide éducation de son exil, les cinq graines (Ni yamas) qui lui ont permis d’enraciner fortement les cinq plantes en lui (Yamas).
Pour conserver le peu de force qui lui restait, il décida de s’asseoir en position de Lotus pour économiser ses forces. Il se mit à respirer pour appeler Prana. Bientôt il fut totalement absorbé par cet exercice. Tout son voyage devait s’achever à cette place. Il vit son corps ainsi demeurant contre un arbre. Il marchait en direction de la boue qui s’écartait à chaque pas qu’il posait.
Il vit le pont qui semblait introuvable. Sur le pont soutenu par une invisible force, il rencontra un homme qui était posté au milieu. C’était son parfait reflet. Ils se regardaient tous deux et fusionnèrent en un seul être ils s’en allèrent dans la montagne de l’éternité.
Le processus que nous présentons est semblable au cheminement que mythe de la montagne d’éternité présente. C’est de façon pratique que nous allons présenter les moyens de purifier :
- Le corps véhicule de la personnalité
- Le sang véhicule de l’âme
- Chemin des 5 sens Touché odorat goût ouie Vue Eau et composition alchimiques parfum, essence, eau Les sons (Musique, Mantra) Figure, Couleur
- Chemin de soumission du subconscient Eveil Suggestion Conscience de soi Injonction au subconscient
- Chemin de la construction de la personnalité et de son éveil aux qualités de l’âme
- Corps vital Sentiment, émotion, désir et volonté créativité pensée
- Exercice de la volonté, discipline des sens, silence…
- Cheminement vers l’âme Personnalité éveillée Le sang Pratique des qualités
- Nourriture saine (-) Respiration (+)
Je vais donner pour clôturer cette grande théorie des éléments sages qui bien compris peuvent permettre la réussite complète des processus de purification.
- L’évolution de la pensée est un processus alchimique qui force à la transformation du corps par l’adoption du comportement requis au grade atteint.
- Toute lecture sage et élevée pour laquelle il est fait un effort de compréhension et d’assimilation par l’âme (Anti- intellectualisme) grâce à la transformation du verbe en lumière fait changer d’état au corps pour qu’il s’adapte aux nouvelles exigences de son grade.
- L’assimilation est le fondement de toute action et le caractère sine qua non de l’acte de purification car toute action doit être comprise par le corps pour à faire partir de lui.
- La sincérité est la clé de toutes choses et la lumière dans la purification tandis que les actes de foi sont l’application de la loi.
La Pratique
1- Sur le touché et l’odorat
- L’assistance se met en position égyptienne, paumes vers le ciel ;
- Les officiants fixent le parfum de Benjoin qui un baume la salle
- Point d’attention :
La fumée touche votre corps pour lui apporter la pureté
Vous sentez le parfum. La sensibilité de votre odorat s’accroît
2- Le goût et l’ouïe
- Prendre un verre d’eau et le poser devant soi
- Position égyptienne paume vers le ciel pied nu sur le sol
- Fermez les Yeux
- Inspirez (penser que pendant cet acte, les paumes respirent et laissent entrer la lumière comme les deux narines laissent entrer l’air)
- Retenir l’air le plus longtemps possible (le flux traverse bus le corps)
- Expirer (penser que l’air usé ressort par les plantes des pieds)
NB : Vous captez par les mains la lumière. Vous rejetez par la plante des pieds 7 fois durant.
- Chantez le mantra AUM 7fois
- Tenir le verre dans la main gauche et imposer la main droite et dire : « Par le christ, tu es exempt de toutes salissures Amen » 3 fois
- Boire une gorgée pour purifier la bouche (donc le goût)
- Écoutez de la musique (un bout de musique classique durant 90s) et se concentrer sur les effets que celle-ci produit.
3- La vue
- Disposer un sanctuaire (deux bougies et une bible)
- Fixer l’attention sur la bougie pendant 8 minutes
- Puis regarder les objets du sanctuaire pour en capter la symbolique.
4- Visualisation
- Fermez les yeux
- Vous vous imaginez dans le Jourdain
- Jean vous attend dans les eaux du Jourdain
- Vous vous agenouillez
- Il prend une coupe qu’il remplit d’eau. Il déverse cette eau sur votre tête
- 1ère fois (Corps) corps pur
- 2ème fois (le cœur) désirs et volonté purs
- 3ème fois (la pensée) pensées pures
- L’eau à purifier les trois aspects en vous sanctifie la monade humaine pour la mettre à part dans le but précis de la descente de l’esprit. La sanctification doit donc achever tout acte de purification, car elle apparaît comme la conclusion d’un processus. La correspondance au temple de Salomon est la cuve d’airain dans laquelle le dévot trempe son corps en ablution.
5- Les lectures Méditatives
Objectif : (1) s’imprégner de la profondeur de ces propos afin que le verbe devienne la nourriture de l’âme dans une profonde unité avec le corps.
(2) Élever la pensée à la vision de Dieu en nous et conduire la transformation du corps de son état actuel à un état plus élevé ; celui de la compréhension du verbe et de l’application du verbe.
- dire : Kadosh Kadosh Kadosh Shaddaï Adonaï Jotchavah Eiéséréié alléluia alléluia alléluia AMEN
- Lecture de Psaume 51
- Lecture de Ezékiel (1 : 1 à 28)
- YHWH MEKADISCH KEM, agrée mon acte de purification afin que je demeure en ta sainte présence ;
- Prière au Christ : « Ô toi qui soutien l’univers, de qui toutes choses procèdent, vers qui tout s’en retourne, dévoile-nous la face du vrai soleil spirituel, caché par un disque de lumière doré, afin de connaître la vérité, et d’accomplir tout notre devoir, alors que nous cheminons vers tes pieds sacrés ».
- Prière personnelle de Clôture.
Le Mot de Fin
La purification est une pratique de tous les jours : Ceci vous indique que vous devez accomplir des actes de vertus chaque jour en vous appuyant sur les Yamas et les Niyamas.
La purification peut être complète par des éléments naturels :
- 1 bain avec de l’eau salée
- 1 bain avec de l’eau de citron
La purification des lieux est primordiale car le lieu où vous officiez est une partie de vous.
Encens
Conjuration…
Plus sur le sujet :
La Purification par Jean Azarias. Conférence du 28 juillet 2005 à l’Hôtel du District d’Abidjan, Côte d’Ivoire.
Illustration : Baptême de Clovis. Grandes Chroniques de France de Charles V. Paris, XIVème siècle. Image by Welcome to all and thank you for your visit ! ツ from Pixabay